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 Rexia...

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AuteurMessage
Rexia


Cet aventurier, c'est
Rexia

~ Administratrice ~

▌Messages : 66
▌Date d'inscription : 12/09/2011
▌Age : 32
▌Localisation : Là où le vent guide mes ailes.

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MessageSujet: Rexia...   Rexia... EmptyLun 12 Sep - 19:18

♠♠ Nom
Prénom(s)





    Rexia... 2cqmdef

    En 200*320

      Nom : Un nom ? Pourquoi faire ? Ce genre de machins inutiles, c'est bon pour les deux-pattes. Moi, je suis une dragonne, un simple prénom me suffit.
      Prénom(s) : Vous pouvez m'appeler Rexia.
      Age : Je dois avoir vue passer environ 250 printemps... qui a dit "Vieille peau écailleuse" ?! Sachez que pour un membre de mon espèce, 250 ans, c'est encore très jeune... je viens seulement d'atteindre l'âge adulte et celui de me reproduire.
      Lieu de naissance : J'ai été pondue et j'ai fendue ma coquille à l'intérieur de l'une des plus hautes caverne du mont Aegas.
      Race et place dans votre peuple : Je suis une jeune dragonne, une habitante de l'île, et une solitaire. Chasseuse implacable survolant mon territoire, il peut arriver que j'accepte d'attraper un peu de viande pour les personnes moins douées que moi, si ils me le demandent gentiment.
      Je fais partie du rang : Je suis une indécie... en fait, je me fiche de la guerre que se livrent les deux-pattes et j'essaie de ne pas m'en mêler. Cependant, il est possible qu'un jour, je choisisse un camp... cela dépendra de mes rencontres, ou du jour où cette guerre pourrait s'éparpiller sur mon territoire et menacer ma vie, ou celle de ceux que j'aime.



♠♠Votre Personnage

Etape 1.




Caractère


Je suis une jeune dragonne intelligente, rusée et très débrouillarde. J'adore voler. Pour moi, rien n'est meilleur pour se remettre d'aplomb que de me dégourdir les ailes, de ressentir la caresse du vent sur mes écailles, de l'entendre claquer à mes oreilles, surtout celui du printemps, lorsqu'il n'est ni trop chaud, ni trop froid, mais juste tiède. Je suis une bonne chasseuse et j'apprécie ce sport, cependant je respecte les lois de notre mère-nature, et ce n'est pas pour autant que je chasserais et que je tuerais sans raison, pour le simple plaisir. Je respecte mes proies et je ne tues que pour manger, ou pour me défendre, bien que mon pêché mignon, ce soit la gourmandise. J'aime aussi observer la pleine-lune et les étoiles, ce qui pour moi est le plus beau spectacle au monde. J'ai trop tendance à foncer tête baisser et à aimer le danger. Oui, je suis assez tête de mule. Je suis aussi une grande rêveuse, ainsi qu'une comédienne et une vantarde. J'aime faire ma maligne en crachant de la fumée devant toute une foule de bipèdes, pour les impressionner, ou pousser des grognements pour les effrayer. Dragueuse envers les beaux dragons lorsque j'en croise un, j'ai tendance à tomber facilement amoureuse, un défaut qui disparaîtra le jour où je me trouverais véritablement un compagnon, mais cela m'a été profitable et m'a donné une bonne arme envers les mâles, car j'ai apprise à me servir de mon charme féminin envers-eux pour obtenir ce que je veux. Joueuse et blagueuse, j'aime me moquer de mes ennemis, et de temps à autres, de mes amis ^^ J'ai un coté sarcastique et je suis un peu... oh, juste un peu xD... gamine. Je suis cependant très susceptible et rancunière, et je pourrais me mettre facilement en colère si on m'insulte. Je déteste être ignorée. Je possède un caractère rebelle, un peu mâle-manqué. J'ai du répondant et je ne me laisse pas marcher sur les pattes, même si ça doit m'attirer les foudres d'une créature plus puissante que moi. J'ai l'habitude, lorsque je m'ennuie et que je n'ai rien d'autre à faire, de me lécher mes griffes, ce qui chez-moi est devenu une sorte de tic.
.

Physique


Je suis une magnifique... oui, magnifique, celui qui dira le contraire se prendra un coup de crocs dans le derrière... représentante de mon espèce, une grande dragonne quadrupède aux écailles tranchantes, en forme de losanges et d'un rouge éclatant, faisant ressembler mes écailles à de gros rubis scintillants lorsque les rayon du soleil ou même de la lune viennent se refléter sur elles. J'ai un long museau ovale, en forme de bec, couronné par deux grands yeux de la couleur de l'ambre profond, dont le regard peut être doux et amical envers mes amis et sombre et féroce envers mes ennemis, et avec sous l’œil droit trois petites écailles vertes, formant une unique tache de naissance, un souvenir que me légua ma mère. Parcourant ma nuque du haut jusqu'au bas, je possède une grande crinière de longues pointes acérées, taillées comme des pieux, qui au sommet du crane est entourée par deux longues cornes pointus. J'ai apprise en grandissant à utiliser ma tête dans une attaque en balancier, comme les humains se servent d'une masse d'arme pendant les batailles, pour y empaler mes adversaires. Mes larges ailes de chauve-souris, à la membrane rosée comme du vin, sont légèrement plus longues et fines que la normal des autres membres de ma race et de mon âge. Cela les rend plus fragile et ne me confère pas une très bonne endurance, mais fait de moi une dragonne très rapide et agile en vol, me donnant de grande facilités dans les airs, et me rendant également silencieuse, me permettant d'observer facilement sans me faire remarquer et faisant de moi une chasseuse implacable.
.

Histoire


J'ai été pondue il y a environ deux-cents-cinquante de ça, suite à l'union d'un grand et puissant dragon de qui j'ai héritée la couleur de mes écailles, du nom de Ronno, et d'une majestueuse et féroce dragonne aux écailles d'émeraude, nommé Xyria. Mon œuf vit le jour dans une des grandes grottes sur la surface nord de la montagne Aegas. C'était une nuit fraîche d'automne, et mon père était agité, stressé, il faisait les cent pas devant l'entrée de la caverne dans laquelle vivait la dragonne de son cœur. A l'intérieur, on pouvait entendre les cris de douleurs de celle-ci. Le mâle était inquiet. Il aurait temps aimé pouvoir être auprès d'elle, pouvoir l'encourager, pouvoir peut être même trouver un moyen de l'aider. Mais il savait qu'il ne pouvait et ne devait pas entrer : il serait inutile, ne ferait que la stresser davantage, et de toute façon, elle le lui avait formellement interdit. Les cris cessèrent un petit moment, laissant place au bruit de la respiration rapide d'un allaitement. Le dragon s'avança lentement, commença à vouloir entrer... son imposante patte se posa sur le crâne d'un cerf qu'il avait attrapé le matin-même, qui craqua sous son poids, et à l'intérieur, la femelle poussa un grognement pour lui ordonner de reculer. Le travail n'était pas terminé ! Les cris reprirent de plus belle. Il passa à nouveau quelques minutes, puis il y eut à nouveau une accalmie, puis ils recommencèrent, et se calmèrent pour la troisième fois, puis reprirent, puis se recalmèrent... et là, ils ne reprirent pas. A l'intérieur de la grotte, le silence n'était plus rompu que par le faible bruit du vent qui se faufilait à travers les nombreuses galeries... le mâle se risqua alors à pénétrer dans la grotte : il se faufila par le grand trou qui marquait l'entrée, et s'avança vers le fond. Là, il trouva sa compagne, confortablement couché sur le coté, les pattes-avant croisées, installée contre la paroi de la caverne, penché sur ce qui ressemblait à quatre grosses pierres grises et polies. Les œufs étaient posés en équilibre contre le rond et confortable ventre de leur mère. Celle-ci cessa un moment de souffler le puissant feu qui ronflait à l'intérieur de son ventre sur eux, et leva ses yeux d'ambre vers ceux de son compagnon. Leurs regards se croisèrent, et il s'avança vers son aimée pour lui donner une longue lèche affectueuse sur le museau. Ils venaient d'avoir leur première portée...
C'est ainsi que nous avons été pondu, mes trois frères et sœurs et moi-même. Tendis que, confortablement installé à l'intérieur de notre solide coque protectrice, nos embryons se développaient lentement, nos parents s'occupaient de notre bien être, et préparaient notre venu... notre mère ne bougeait plus. Elle restait toujours à l'intérieur de la caverne, à chaque heure du jour et de la nuit, couchée sur nous quatre, à nous réchauffait avec sa chaleur corporelle, ou, de temps à autre, nous faisant prendre une bonne douche de son souffle ardent, afin que nous restions à la température minimum obligatoire pour notre survie. Et, pendant ce temps, notre père s'occupaient de son bien être à elle. Il se chargeait de chasser pour sa compagne et lui-même à la fois, et aussi de mettre de la nourriture de coté pour que le jour où ses quatre petits dragonneaux braillards et affamés sortiraient de leurs œufs, ils aient de quoi de se mettre un véritable festin sous le croc. Les saisons succédèrent aux saisons, les semaines devenant des mois, les mois devenant plus d'une année entière... et plus les sables du temps s'écoulaient, plus nous devenions grands, et plus nous nous préparions à sortir de nos œuf... et enfin, un jour, ça arriva : nos parents se réveillèrent un beau matin en sursaut, dérangés par de tout petit couinements qui se répercutaient à travers toute la caverne, ainsi que de puissants choques. Nous étions en train de tout faire pour briser notre prison naturelle de naissance, cherchant à creuser avec nos jeunes serres, frappant la parois plus solide que le plus pure des diamants avec la petite gemme qui faisait chez les bébés dragons office corne sur notre museau, cherchant même à mordre avec nos crocs encore si fragile... pour le premier combat de notre vie, celui qui devait justement nous donner le droit de vivre, plusieurs heures passèrent, avant qu'enfin, je parvienne à faire une fissure dans ma coquille. J'y ai passée alors au travers mes pattes-avants et tira de chaque coté. Mes serres furent les premières parties de mon corps de dragonnette à entrer en contact avec l'air libre... et, enfin, mon œuf se brisa en deux, libérant mon corps de tout petit reptile épuisé, encore si fragile et frêle. Ma "corne" se détacha de mon nez et tomba... elle ne servait aux bébés dragons que pour les aider à éclore, mais dès lors qu'ils étaient sortis, elle devenait complètement inutile et donc n'avait plus de raison de demeurer sur eux. Je repris mon souffle, puis me mis à tourner ma petite tête dans tous les sens, et les premières choses que je vis furent les autres œufs qui m'entouraient, et qui se brisaient à leur tour, puis ce fut le beau et tendre visage de mon géniteur, qui observait sa progéniture avec fierté... et enfin, la première chose que je ressentis, ce fut la langue râpeuse et baveuse de ma mère, qui se mit à me lécher pour me nettoyer un peu, comme elle le fit par la suite pour mes deux frère et ma sœur...
La suite de mon histoire, celle de notre enfance, est assez banale, enfin... aussi banale que peut être la vie d'un dragon ^^' Maintenant que nous étions vraiment nés, nous devions grandir. A nouveau, les saison et les années se succédèrent, tendis que nous prenions en taille et en force. Nos parents s'occupèrent continuellement de nous, durent souvent nous surveiller, puisque après-tout, nous étions à l'âge où notre soif de connaissance et d'aventure nous poussée souvent à fuir la grotte pour aller découvrir le monde qui l'entourait. Ils se partagèrent les taches pour nous éduquer, ainsi que pour nous apprendre comment vivaient les véritables dragons. Bien-sur, nous en avions déjà appris une bonne partie par nous-mêmes, à travers les jeux des bébés dragons, mais eux parfairent tout-ça. Notre mère s'occupa de notre éducation, développa notre caractère, notre façon d'être... et surtout, nous apprit ce qu'était notre instinct, l'arme la plus puissante que nous aurait offerte la nature, elle nous apprit à le reconnaître, à l'écouter, et à le suivre. Quand à notre père, il développa notre physique, ainsi que notre force. Il nous entraîna, nous apprit à nous battre et à nous défendre comme de véritable de dragons. Il nous apprit à nous servir de nos crocs et de nos serres. Lorsque nous fument assez grand, nos deux parents nous apprirent à voler, un sport dans lequel je devins rapidement extrêmement douée, et ils nous apprirent aussi à chasser...
Les années se succédèrent ainsi, et nous étions heureux. Mais cette façon de vivre ne pouvait durée éternellement, et une vie doit s'achever pour qu'une nouvelle puisse commencer. Ce matin-là, mes frères, ma sœur et moi-même, nous nous étions fais réveiller, comme chaque matin, par de jeunes rayons de soleil qui vinrent frapper nos yeux à travers les fissures de notre grotte... notre père était absent, et notre regard tomba en premier sur notre mère, envers qui nous avions poussé un petit cri pour la saluer... pas de réaction. Elle restait-là, complètement immobile, ses deux yeux d'ambres qui semblaient êtres devenus aussi noirs que cela était possible nous observant... et étrangement, elle avait prise une posture menaçante, les crocs et les serres découverts, les écailles de son dot dressées, comme la fourrure d'un vieux matou en colère voulant chasser de jeunes chats de son territoire, et sa carotide vibrait, laissant échapper le bruis de tonnerre d'un grognement. L'un d'entre-nous, un de mes frères un peu trop courageux... ou un peu trop stupide, bien que ces deux termes se soient toujours beaucoup ressemblé, s'approcha d'elle, essayant de voir ce qu'elle avait... et sa réaction fut à la fois immédiate et violente : tel une vrai furie, elle se jeta sur nous, nous giflant avec ses ailes, nous menaçant avec de puissants claquements crocs. Nous ne comprenions pas ce qu'il lui prenait... elle ne semblait pourtant pas chercher à nous blesser, une certaine tristesse émanait de chacun de ses gestes. Et pourtant, elle nous poussait lentement, mais sûrement, droit vers l'entrée de notre grotte, et vers le rebord de la montagne. C'est alors que la situation devint limpide à mes yeux : ce n'était plus NOTRE grotte... une semaine plus tôt, nous avions réussi à cracher des flammes pour la première fois, et cela signifiait que nous venions d'atteindre une centaine d'années, et même si nous n'étions pas encore officiellement des adultes, nous ne pouvions plus vivre auprès de nos géniteurs. Si nous voulions espérer survivre dans la nature, nous devions dès maintenant quitter le nid de notre naissance et nous débrouiller par nos propres moyens. Elle ne faisait pas ça de guetté de cœur, mais elle voulait que nous survivions en devenant de véritables dragons. Elle n'avait pas le chois, se montrer brutale était le seul moyen de nous faire comprendre que nous n'étions plus les bienvenus sur son territoire. Et malgré nos cris de protestations et de tristesses, ce qui devait arriver arriva : la puissante dragonne nous poussa tous hors de la caverne et nous fîmes une longue chute. C'était la dernière épreuve que nous devions passer pour pouvoir vivre sauvage : nous devions déplier nos ailes et nous envoler seuls, avant de nous écraser contre les rochers... est-ce que j'ai réussi ? Évidemment, sinon je ne serais pas là pour vous raconter mon histoire.
En fait, tous les quatre, nous avons réussis. Et c'est ainsi que, tristement, mais n'en voulant pas à notre mère, car nous savions qu'elle avait fait ça pour notre bien, nous nous sommes séparés et nous avons chacun pris notre propre direction, à la recherche d'une caverne libre ou d'un endroit où nous en creuser une…
.


RP Test


La journée avait été absolument magnifique, dans le pays mystique et ancien, emplis de secrets et de mystères, qu'était l’île de Revia, et le soleil commençait lentement à décliner, après avoir terminée sa longue course céleste quotidienne à travers les cieux d'azur où il régnait en compagnie des oiseaux et des dragons, disparaissant petit à petit derrière les montagnes de l'Ouest qui masquaient la ligne d'horizon, la lumière de ses rayons dorés et chauds baissant à chaque instant. Bientôt, alors que la grande boule de feu se serait totalement couchée dans son nid de l'infinie, elle laissera leur place légitime à une multitude de magnifiques étoiles, réunies en constellations, qui observeraient les mortels depuis leur perchoirs sombres et sembleraient rires de simplicité, de leur taille ridicule comparé au reste de l'univers. Et le monde serait alors dominé par l'œil géant d'une pleine-lune aussi ronde et brillante que le cratère d'un volcan.

Déjà, les animaux qui vivaient durant les temps de lumière couraient chacun de leur coté, regagnant leur terrier, leur nid, leur caverne, ou tout simplement se cherchant un abri confortable et sûr pour passer la nuit, afin de replonger dans le monde de leurs songes, un monde qui n'appartenait qu'à eux-seul, et qui était le plus souvent merveilleux, un monde où absolument tout ce qu'ils désiraient pouvaient leur arriver, ou alors, au contraire, où il pouvait leur arriver les pires mésaventures à travers leurs cauchemars. Au même moment, bien qu'on ne puisse pas encore les observer, les autres petites bêtes qui elles, n'appréciaient pas les rayons chauds et aveuglants du soleil, et préférés ceux plus frais de sa sœur d'argent, commençaient doucement à passer les portes de leur propre monde du sommeil, car ils savaient que bientôt, ils pourraient reprendre ceux qu'ils appelaient leur propre "quotidien", un quotidien fait de rencontres, de combats, de chasses,... d'amour. Cependant, malgré l'heure qui commençait tout doucement, mais surement, à se faire tardive, toutes les créatures qui dormaient durant la période nocturne du monde fantastique à travers lequel nous vivions n'étaient pas encore décidés à se laisser emporter par le marchant de sable, ils n'étaient pas encore décidé à regagner le lit et à demander à leur univers conçu par leurs rêves de leur ouvrir sa porte. Si on faisait un petit tour en direction des eaux claires et cristallines du lac d’Oelyn, par exemple, il était possible de voir la preuve de ce que j’avançais...

Rexia, une encore très jeune et majestueuse dragonne solitaire, aux écailles aussi rouges et resplendissantes que des rubis, faisait partie de ceux qui n'était pas du tout fatiguée, bien qu'elle soit une dragonne diurne, et pour tuer le temps, elle s'était d'ailleurs faite un petit plongeon dans le fameux lac auprès duquel elle avait élue domicile. Ça faisait environ une bonne trentaine de minutes qu'elle s'était submergée, et qu'elle sprintait entre les algues et les rochers que le contact du milieu aquatique et des courant avait au fil des années remodelé pour leurs donner des formes rigolote, mais auxquelles il valait mieux éviter de trop se frotter, car elles pouvaient êtres parfois tranchantes et assez dangereuse. Non, ne vous inquiétait pas, si vous songiez à ça : elle ne manquait absolument pas de souffle et ne risquait pas de se noyer. Il ne fallait pas oublier que les lézards géants cracheurs de feu de sa race restaient malgré tout des reptiles, et de ce fait, ils étaient capables de retenir leur souffle assez longtemps, que ce soit à l'air libre comme en milieu marin. Ses écailles étaient doucement caressaient par les flots et son sang reptilien protestait légèrement sous le contact qu'il ne trouvait pas très agréable du liquide trop frais. Mais le feu qui ronflait à l'intérieur de son ventre rétablissait l'équilibre et lui permettait de profitait de cette douce baignade sans risquer l'hypothermie. Utilisant ses pattes pour se propulser et sa queue tel un gouvernail pour se diriger, à la façon de ses très lointains cousins, les crocodiliens, elle s'enfonçait de plus en plus dans les profondeurs sombres du lac et y évoluait sans rencontrer le moindre obstacle, la moindre résistance assez puissante pour repousser un dragon… il semblait que Oelyn l’avait accepté.

De temps en temps, un petit poisson, noir, rouge, vert, bleu, ou même parfois de plusieurs couleurs différentes, avait l'imprudence de s'approcher d'elle d'un peu trop près, se demandant sans doute quel était ce drôle de monstre qui n'avait il semblait rien à voir avec leur monde humide de silence et qui pourtant nageait sans difficulté sur leur territoire... la chasseuse pourpre en profitait à chaque fois pour se remplir petit à petit la pense, même si ce n'était pour elle que des amuses-bouches en attendant le festin des restes de sa chasse matinale qu'elle allait se faire en rentrant à son nid, et l'animal marin n'avait jamais ni le temps d'avoir sa réponse, ni même le temps de comprendre qu'il était mort, alors qu'il disparaissait dans un sec et vif claquement de mâchoires. Trois petites bulles s'échappèrent de ses naseaux refermés par une membrane de peau naturelle, qui était censée la protéger contre l'eau qui s'infiltrait à l'intérieur de ses voies respiratoires. Elle comprit rapidement que c'était le signe, avec le petit picotement qu'elle avait au ventre, que ça y était, elle commençait un peu à manquer d'air et qu'il était temps de remonter. Elle déplia alors ses deux longues et larges ailes, membraneuses comme celles d'une chauve-souris, et battit puissamment comme elle l'aurait faite si elle s'était retrouvée dans les airs, ou si il s'était s'agit d'ailerons, remontant en chandelle à la même vitesse qu'une flèche d'elfe accompagnée par le vent, quittant les fonds marins que peu de personne avaient déjà réussis à visiter.

La façon de jaillir ainsi du lac de la dragonne n'était pas sans rappeler quelques anciennes légendes qui planaient au dessus de ce pays mythique, parlant de monstres aquatiques légendaires, qui guettent les voyageur égarés dans des lac tels que celui-ci, ne faisant dépasser des eaux que son longs coup écailleux et sa tête de reptile, tel un serpent géant. Lorsque cette infime partie d'elle-même se retrouva à l'air libre, alors que le reste son corps restait submergé et l'aidait à maintenir son visage hors de l'eau, semblant émerger d'une explosion de gerbes aquatiques, le premier reflex de la dragonne fut de faire survoler ses yeux, semblables à deux gros morceaux d'ambres posés là, d'un bout à l'autre de la rive qui l'entourait, à la recherche de la plage la plus proche. Elle ne tarda pas à la repéré, juste à sa droite. Avec une lenteur calculée, elle se mit à nager dans cette direction, créant autour d'elle de mini-vaguelette qui semblaient fuir le passage de la puissante chasseresse écarlate pour partir s'écraser contre les rochers ou disparaître vers le centre sombre du lac. Les quelques derniers rayons du couché de soleil vinrent frapper ses écailles, lui chauffant la nuque agréablement et faisant naître autour d'elle une lumière sanguine et différents effets d'optiques. La lumière n'était pas vraiment très forte, mais pour tout dire, elle s'en fichait, parce que même s'il avait fait nuit noire, son regard aux pupilles verticales, tel celles des chats, était capable de percer les ténèbres, et elle serait capable d'y voir comme en plein jour alors que d'autres créatures n'y verraient pas plus loin que le bout de leur museau.

Lorsqu'elle arriva enfin près du rebord, elle sortie alors la partie supérieur de son corps, et s'installa sur le sol rocheux, les pattes-avants croisées, et celle de derrières ainsi que sa queue continuant à faire des aller-retour sous l'eau, gigotant librement au grès des courant. Elle s'ébroua un grand coup, faisant voler de nombreuses gouttelettes autour d'elle, avant de poser son menton sur ses pattes... puis finalement Rexia resta ainsi, dans cette position, à observer l'horizon où un demi-cercle de feu jaune continuait petit à petit à baisser. Admirant le magnifique spectacle que lui offrait le couché du soleil, la dragonne pénétra rapidement dans un état de demi-sommeil... elle ne dormait pas vraiment, mais, le regard perdu ainsi dans le vague, elle laissa son esprit vagabonder hors de son corps, et voyager à travers le pays de ses souvenirs, de ses rêves, de son imagination...
.


♠♠Quelques mots sur Vous
Etape 2.



    Rexia... 2mdnonk


      Nom / Surnom: Contentez-vous de m'appeler comme mon pseudo ^^
      Age : 20 ans physiquement pour 10 ans d'âge mental, et fière de les avoir, en plus jocolor
      Localisation ? Désolée, mais ça, je préfère le garder pour moi.
      Temps consacré au forum : Le plus souvent possible tous les jours.
      Passions, Loisirs : Les animaux [surtout les reptiles], la littérature fantastique parlant de dragons, les films d'horreurs et Dreamworks, les jeux vidéos Survival Horror, les forums RPG's, le théâtre,...
      Comment as-tu connu le forum ? En cherchant sur l'annuaire Forumactif.
      Que penses-tu de Revia-Rpg ? Il m'a l'air on ne peut plus sympathique =)
      Autre Chose ? Nan, rien de particulier, pour le moment...
      Le code est : Validé par Alix via le MJ '[/size]



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Liloé Maheolas


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Liloé Maheolas

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~ Carnet de Route ~
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MessageSujet: Re: Rexia...   Rexia... EmptyMar 13 Sep - 19:21

Bienvenue à toi belle dragonne !!
C'est une très belle fiche que tu as fait là et je n'y ait vu aucun problème.
Ce n'est pas mon travail de valider mais l'admin chargé de cela est un peu surbooké et le forum a quelques difficultés à bouger en ce moment, je me charge cependant de contacter quelqu'un pour te valider rapidement Wink
Encore bravo pour ta fiche et au plaisir de pouvoir rp avec toi !!
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Rexia


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Rexia

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MessageSujet: Re: Rexia...   Rexia... EmptyMar 13 Sep - 19:29

Merci beaucoup pour ton accueil, jolie deux-pattes aux cheveux de feu Very Happy Je suis très heureuse que ma fiche te plaise =)
Pour la validation, no souci, je comprends qu'il y ait des moment où il y a des difficultés, alors prenez votre temps Wink
Au plaisir de RP avec toi aussi ^^
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Maître du jeu


Cet aventurier, c'est
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▌Date d'inscription : 22/07/2010
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MessageSujet: Re: Rexia...   Rexia... EmptyMer 14 Sep - 6:45


    Coucou Rexia, et bienvenue !

    Bon alors, je ne vais pas te le cacher, l'admin surbookée dont parlais Lilo, c'est moi et en fait, en plus d'être surbooké, je ne suis plus du tout motivée par Revia qui est mort, selon moi, depuis bien longtemps. Je sais qu'il reste des membres motivés, dont Lilo et quelques autres, mais je préfère te prévenir du très faible niveau d'activité sur le forum avant de te valider. Après, si tu veux tout de même venir, alors pas de soucis, je te validerai Wink Tiens moi au courant !

    En attendant, je valide ton code - et pour ce qui est de la fiche, je la lis ce soir là je dois filer en cours (Uu)
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Rexia


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Rexia

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MessageSujet: Re: Rexia...   Rexia... EmptyMer 14 Sep - 8:19

Merci d'être venu aussi rapidement malgré tout ton travail ^^
Bah, même si il n'y a pas trop d'activités, j'ai quand-même envie de rester, pour essayer. Si il y a quelques membres qui postent, ça peut très bien relancer un forum =)
Et no souci, pour la lecture et la validation. La vraie vie passe avant les RPG's, alors prend ton temps Wink
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MessageSujet: Re: Rexia...   Rexia... Empty

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